Les voitures automobiles anciennes et les véhicule anciens de collection, v2.
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Hotchkiss 421 1934
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Une Hotchkiss type 421 de 12 cv de 1933, ce véhicule ancien fut produit de 1933 à 1934.
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L'Hotchkiss 421 de 12 cv de 1933, fut produit de 1933 à 1934...
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Histoire Chronologique de l'ancienne marque automobile " Hotchkiss - Voitures particulieres ", France 1903 -1954 et 1965 pour les utilitaires et camions.
Firme fondée par Benjamin Hotchkiss à Saint-Denis en 1867 pour fabriquer des canons. La paix revenue, il fabrique des pièces de moteurs, puis sa première voiture en 1903.
En 1906, elle lance sa première six-cylindres, en trois blocs coulés de deux-cylindres, de 7,5 litres. Elle est suivie en 1912 d'une 12/16 ch de 2,2 litres, puis en 1913, de trois quatre-cylindres, 12/16, 16/20, 20/30 ch, et de deux six-cylindres, 20/40 et 40/50 ch..
Au début des années 1920, Hotchkiss adopta le slogan « La voiture du juste milieu » et lança l'AM 12CV. A partir de 1925, fut mise au point une nouvelle lignée de moteurs à soupapes en tête. Ces moteurs de 4 ou de 6 cylindres furent produits avec quelques évolutions techniques jusqu'en 1954.
À partir de 1934, l'influence de l'aérodynamisme se fit sentir : calandre légèrement inclinée, malle intégrée et profilée. Les carrosseries séduisirent par le classicisme et la distinction de leurs lignes, et les Hotchkiss brillèrent au rallye de Monte-Carlo et dans les concours d'élégance.
En 1936, la firme offrit un camion à capot de 2 tonnes, avec un moteur à essence de 4 cylindres de 2,3 litres. Après la Seconde Guerre mondiale, ce modèle fut amélioré avec des freins hydrauliques et pris le nom de PL20.
En 1937, pour diversifier sa gamme, Hotchkiss, qui avait racheté Amilcar, exposa l'Amilcar-Compound. Il s'agissait d'un prototype étudié par l'ingénieur J.-A. Grégoire avec le soutien de l'Aluminium Français. Voiture moderne (traction avant, roues indépendantes, châssis en alliage léger...), elle coûtait beaucoup plus cher que ses concurrentes et ne put s'imposer.
Pendant la Seconde Guerre mondiale, la production automobile fut suspendue. Sous l'égide du COA (comité d'organisation de l'automobile), Peugeot prit une participation importante dans le capital d'Hotchkiss. À la Libération, pour ses déplacements dans Paris libéré, le Général de Gaulle exigeât une voiture française décapotable, c'est une Hotchkiss qui fut, non sans mal, découverte par son état-major.
Après la guerre, Hotchkiss reprit lentement ses activités en modernisant la 13 CV et la 20 CV (roues indépendantes à l'avant, freins hydrauliques). Au Salon de 1950, ces deux modèles furent remplacés par l'Anjou, qui conservait la même mécanique mais adoptait une nouvelle carrosserie.
Suite a des difficultés financières d'Hotchkiss et, après la fusion avec Delahaye en 1954, Hotchkiss abandonna la construction de voitures de tourisme. Le dernier modèle, la Monceau, carrossée par Chapron, avec le moteur de 20 CV ne fut pas produit au-delà de quelques unités.
En 1956, apparut un nouveau camion à capot, nommé PL50, avec un moteur à essence, de 4 cylindres, 2.3 litres, 70 chevaux et 5 tonnes de charge utile.
En 1961, Hotchkiss signa un accord de commercialisation avec Leyland, pour vendre des camions Leyland en France. L'usine continua cependant à produire des véhicules utilitaires jusqu'en 1969 estampillés « Hotchkiss » et le nom de Hotchkiss-Delahaye survécu pour la production militaire avant de devenir Hotchkiss-Brandt en 1960 puis Thomson-CSF en 1971.
En 1965, Hotchkiss offrit son dernier modèle de camion au nom de DH70, à cabine avancée basculante, de charge utile de 3.7 à 7 tonnes, avec des moteurs de 91 chevaux, de 3.5 litres, à essence ou diesel au choix, avec des transmissions de 4 et 5 rapports.
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